
Trouvé dans Le Monde une note sur la découverte des propriétés de la neurotensine au sein de l’amygdale, donnée comme « la molécule qui trie les bons et les mauvais souvenirs ». Elle pourrait permettre de construire ainsi la mémoire du cerveau en fonction des émotions ressenties comme « bonnes » ou « mauvaises ».
Ces perceptions contradictoires suivraient deux chemins neuronaux distincts à l’intérieur de l’amygdale, petite partie du cerveau fondamentale dans le traitement et la mémorisation de nos émotions.
Des chercheurs auraient pu leurrer des souris en manipulant les circuits de récompense ou de punition, obtenant l’inverse du résultat habituel avec la manipulation.
On n’est pas des souris ? Selon l’article du Monde et le chercheur interviewé, il n’y a pas de raison que l’on puisse fonctionner autrement. Selon lui, il est possible que la neurotensine joue un rôle plus important encore que la dopamine, la dopamine, accélérant la communication, la neurotensine jouant tout à la fois le rôle d’accélérateur et de frein, suivant sa concentration.
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Références bibliographiques
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