Manipuler la talo-naviculaire pour diminuer les douleurs rotuliennes


Les auteurs de cette étude énoncent que la pronation excessive du pied pourrait être un facteur aggravant le syndrome fémoro-patellaire.

Il y a quelques preuves en faveur de leur contemporanéité (effondrement du membre inférieur à la fatigue se traduisant par une adduction de la hanche, une valgisation du genou en flexion, une pronation du pied sur un tibia en rotation latérale), mais quid de la causalité ?

Ils ont cherché à savoir si, sur 48 sujets jeunes souffrant de syndrome fémoro-patellaire, il y avait intérêt de faire de la thérapie manuelle ciblant le naviculaire et allant dans le sens d’une supination du pied (12 séances quand même…). 

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